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  • Prix de Thèse 2023 de l’A.N.D.E.S.E.

    Dans le cadre de sa mission de promotion par l’excellence de la Recherche, de l’Enseignement et de la diffusion des Connaissances en Économie et en Gestion, et comme chaque année, l’A.N.D.E.S.E. décernera en 2023 un Prix à la meilleure Thèse de Doctorat ès Sciences Économiques ou en Gestion et Management. Parmi les cinq nominés le Lauréat se verra décerner un Prix de 2000 € .

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France 2022 et au-delà !

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Écrit par Daniel Bretonès
Catégorie parente: Messages
Catégorie : Messages du Président
Publication : 3 janvier 2022
Affichages : 582

Cette nouvelle année qui démarre sera la troisième vécue sous la pression de la pandémie que nous subissons. Cependant l’horizon n’est pas noir et les avancées technologiques en matière de diagnostic et de vaccination ont permis un redémarrage de l’économie dès 2021 !

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Le distributeur automatique de billets (DAB), une espèce en voie de disparition en France ?

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Écrit par Nadia Antonin
Catégorie parente: Chronique
Catégorie : Nadia Antonin
Publication : 11 décembre 2021
Affichages : 1400

1. Introduction

Le distributeur automatique de billets (DAB) a été imaginé par deux ingénieurs écossais, James Goodfellow et John Shepherd-Baron, qui s’en disputaient la paternité. Toutefois, la Banque Barclays a signé avec le second, qui était alors directeur général de l’imprimerie De La Rue, une entreprise fabriquant des billets de banque. Ainsi, le premier automate en libre-service fut installé devant une agence de la Barclays le 27 juin 1967 à Enfield Town, au nord de Londres. En France, c’est à la Société Marseillaise de Crédit, absorbée depuis par le Crédit du Nord, que le distributeur de billets a fait sa première apparition le 2 juillet 1968.

Ce premier automate bancaire répondait à la volonté des établissements bancaires d’éviter les files d’attente aux guichets et de permettre aux clients de retirer des espèces en dehors des heures d’ouverture. Les retraits étaient limités à 10 livres sterling à Londres et à 200 francs à Paris pour chaque opération au moyen d’une carte perforée en papier à usage unique. Ensuite, il fallait composer un code secret à quatre chiffres. C’est l’acteur Reg Varney qui fut chargé d’effectuer le premier retrait d’espèces de l’histoire. Une ancienne guichetière de l’agence d’Enfield, Carole Greygoose, révélait que « la banque n’était ouverte que jusqu’à 15h 30 à ce moment-là. Quand l’automate a été installé, les clients pouvaient retirer de l’argent en dehors des horaires d’ouverture, ce qui a dû changer leur vie ».

Au départ, cet automate bancaire ne permettait d’effectuer que des retraits d’argent. Mais au milieu des années 1980, Christian Burnier-Framboret a mis au point le premier logiciel français qui a transformé les DAB en GAB (guichet automatique de banque).

Après avoir équipé massivement leurs agences depuis les années 1980 (progression de + 194% du parc de DAB-GAB de 1994 à fin 2011), les banques ont entamé une réduction du nombre de DAB dans un souci de réduction des coûts notamment. Dans certaines zones, il faut prendre sa voiture pour retirer des espèces !

Après avoir dressé un état des lieux de l’accès du public aux espèces en France, nous évoquerons d’une part les raisons qui ont poussé le système bancaire à réduire le parc des DAB et d’autre part, les conséquences d’une désertification bancaire.

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Les deux mondes monétaires

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Écrit par Jean-Jacques Perquel
Catégorie parente: Conjonctures
Catégorie : Notes de conjoncture
Publication : 26 novembre 2021
Affichages : 613

Internet a bousculé le système humain en ajoutant une ouverture vers un monde « virtuel » qui vient s’ajouter au monde réel. Dans le domaine financier, à côté des « fiat » monnaies, on voit apparaître une multitude de produits cryptés dont certains voudraient jouer un rôle monétaire.

Il y a ainsi deux types de « monnaies » : certaines sont « complètes » c’est-à dire qu’elles répondent aux trois critères d’Aristote, ( échanges, conservation, évaluation ). Les monnaies « fiat » répondent à ces critères sauf en périodes rarissimes d’Hyperinflation. Les autres actifs financiers ,essentiellement les monnaies cryptées et leurs homologues ( les « non fungible tokens (N.F.T.) ) se veulent être considérés comme « monnaies » sans avoir, sauf exception, les trois qualités aristotéliciennes.

Il y a donc ainsi deux mondes. Lors du Krach du Bitcoin en 2017/18 (le bitcoin est passé entre le 3 décembre 2017 où il cotait 13298 $ à 2792 le 7 décembre 2018, cela n’a eu aucune répercussion sur le système monétaire classique. Il en a été de même au cours du « petit Krach » du 21 Octobre 2.021. On a offert 575 Bitcoins sur la plateforme d’échanges « Binance », faisant passer pendant quelques secondes le Bitcoin de 66000 $ à 8200 $.

Pour comprendre cette situation et surtout les risques qu’elle entraîne, il nous faut comparer les deux types de monnaie, mais surtout analyser les interactions entre ces deux mondes.

Jusqu’à présent, la masse monétaire « fiat » se compose des monnaies émises par les Banques Centrales, des crédits accordés par les secteurs bancaires et para-bancaires, du crédit inter-entreprise, de la monnaie scripturale et des débits des « cartes de crédit ».

Par contre les nouvelles « monnaies » se divisent entre celles à qui manque la possibilité d’évaluation du fait de leurs fortes fluctuations par rapport au dollar et celles qui cherchent à résoudre cet handicap.

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La discrimination des seniors en France

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Écrit par Nadia Antonin
Catégorie parente: Chronique
Catégorie : Nadia Antonin
Publication : 15 novembre 2021
Affichages : 946

1. Introduction

Dans un article intitulé « Pourquoi un tel acharnement en France contre la méritocratie ?» publié sur le site de l’ANDESE , nous avons présenté les mesures visant à favoriser la « discrimination positive » dans le domaine de l’enseignement secondaire et supérieur au détriment de la méritocratie. D’aucuns définissent la « discrimination positive » comme « une politique, une mesure ou une loi ayant pour objectif de favoriser par un traitement préférentiel une catégorie de personnes qui est sujette habituellement à une discrimination en raison de son origine sociale, ethnique ou religieuse, de son sexe, de son âge, de ses handicaps ». Ce concept trouve son origine aux États-Unis avec « l’affirmative action » mise en place en 1961, consistant à conférer un traitement préférentiel à certaines minorités. Les opposants à une telle pratique dénoncent ses effets pervers : « condescendance extrême », stigmatisation des bénéficiaires, création d’autres inégalités, renforcement du communautarisme et assistanat.

A rebours de cette « discrimination positive », nous assistons à une « discrimination négative » croissante subie par les seniors en France.

Après avoir illustré les discriminations à l’égard des seniors, nous évoquerons les effets néfastes d’un manque de considération et de respect à l’égard de ces derniers ainsi que le rejet d’un État « nounou ».

Lire la suite : La discrimination des seniors en France

  1. Impact de l’essor du commerce électronique sur le marché des entrepôts
  2. Analyse des facteurs de la croissance en France
  3. Informatique en nuage et souveraineté numérique
  4. Remise Prix de Thèse ANDESE 2021
  5. La menace des fonds activistes en France
  6. Europe/Chine : Les traités inégaux et le réveil de la mémoire chinoise
  7. Prix ANDESE de Thèse 2021
  8. Remise du Prix ANDESE du Financier 2021
  9. Du « Bitcoin » aux « Stablecoins »
  10. Pourquoi un tel acharnement en France contre la méritocratie ?

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